Je vais, tu vas, ils vont
En présence de l’autrice
Modération : Katja Petrovic
À l’occasion de la parution de son nouveau roman, traduit en français par Claire de Oliveira, Jenny Erpenbeck fait escale au Goethe-Institut de Paris. En partant d’un évènement qui a fait couler beaucoup d’encre à l’époque – l’évacuation en 2014, après trois ans d’occupation, d’un camp de migrant·e·s sur l’Oranienplatz, à Berlin –, l’autrice nous parle, sans fard ni fioritures, de celles et ceux que l’on regarde sans voir, et de ceux devant lesquels on détourne le regard.