« Ce qui reste » de Christa Wolf
traduit par Ghislain Riccardi, Stock 1996
Berlin-Est, années 70.
Que se passe-t-il dans votre intimité, dans votre vie familiale et amoureuse lorsque le quotidien se vit sous le regard du Moloch, représenté par trois clones imper-feutre-lunettes noires tanqués dans une volga garée sous vos fenêtres ? Ça c’est la face visible, celle qui est là pour détourner la méfiance : ils se montrent, je peux les circonscrire.